Faute de pouvoir m’offrir une Speademaster durant mes études, j’ai malgré tout pu compter une Omega dans ma collection (nom vaniteux pour mes trois montres). Pour ce faire, je me suis tourné vers le marché de l’occasion vintage.
Omega est une entreprise horlogère suisse créée en 1848. Son histoire est ponctuée de moments d’exception ; c’est par exemple la première montre à avoir connu l’atmosphère lunaire en 1969 au bras de Buzz Aldrim.
Aujourd’hui, la montre Omega la plus abordable est la Seamaster quartz (sans grand intérêt horloger) à 1400€. Les modèles phares, Seamaster et Speedmaster, se retrouve aux alentours de 4000€ ; bref, pas à la porté de toutes les bourses (dont la mienne).
C’est pourquoi je me suis tourné vers le marché de l’occasion, mais là aussi, la cote d’Omega reste haute. Le critère vintage c’est alors ajouté à mes recherches et j’ai enfin commencé à trouver des choses plus intéressantes.
C’est ainsi que pour 60€, j’ai pu dégotter (sur le web) une jolie Omega à gousset. En ouvrant la bête, il est apparu un numéro de série : 7155466. Numéro qui m’a permis de dater la montre aux années 20.
Niveau performance, elle tient l’heure à plus ou moins 4 secondes sur une journée. Malgré tout, une visite chez l’horloger ne saurait tarder.
Bien à vous.